3 janvier 2012
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15:51
2012 est une année précaire, elle est en sursis jusqu’au 31 décembre. À moins que l’on change radicalement le calendrier que les occidentaux ont imposé à l’ensemble de notre monde, sans demander
l’avis des pays, pour la plupart bien éloignés de Greenwich.
La précarité ne pèse pas que sur les douze mois, mais aux milliards de personnes qui ne sont pas forcément heureux de survivre jusqu’au lendemain.
Pourtant, le ciel n’est pas totalement obscur. Un peu de poésie rend des couleurs à la vie.
Crèche à Saint-Jean de Montmartre.
À la Fontaine-au-but crèchent Dominique et son ami…